L’adaptation d’un nouvel Assassin’s Creed en webtoon
Cette nouvelle série d’Assassin’s Creed débute à Macao en février 1725. Un jeune voleur, d’origine britannique et blond de chevelure, est aux prises avec des ninjas protégeant un navire dans le port.
Une semaine avant, un jeune homme, Noa Kim, a réalisé un test génétique afin de pouvoir connaître ses origines. il remarque alors qu’il a des ancêtres originaires d’Europe de l’Ouest, d’Asie de l’Est et des populations amérindiennes. Il cherche alors à en savoir plus et reçoit un mail d’un laboratoire de recherche en génétique appelé Abstergo. Une proposition lui est faite : s’envoler à Macao tout frais payé à des fins de recherche. Flairant l’arnaque, Noa est d’abord méfiant, puis se laisse convaincre lorsqu’il remarque qu’une femme l’attend effectivement à l’aéroport.
Noa Kim visite la ville et fait un tour devant l’église portugaise, l’un des lieux les plus visités et désormais photographiés de la ville. Noa vient alors de rentrer dans un piège. En effet, le laboratoire Abstergo le capture et le branche à une machine, l’animus. A travers une synchronisation des ancêtres du patient-otage, Abstergo a désormais accès à la vie des ancêtres de Noa, dont Edward Kenway, un célèbre pirate devenu l’un des membre des Assassins à l’époque moderne.
En 1724, à la veille de Noël, Edward Kenway prend la décision de quitter les Antilles et de partir à Macao. Il a entendu parler d’une rumeur dans une taverne : un explorateur aurait aperçu des ruines abandonnées, témoignant d’un royaume situé dans le sud de l’Indochine. Elles appartiendraient à la civilisation khmère. Cette cité perdue abriterait un trésor que convoiterait les Templiers. Kenway parviendra-t-il à aller jusqu’à ces ruines avant les Templiers ?
Une légère déception en renfermant ce premier tome clairement un ton en dessous par rapport aux autres séries de la licence. S’appuyant d’habitude sur une documentation historique relativement conséquente pour en faire une fiction, cette nouvelle série présente de fréquentes incohérences historiques, visibles dans la représentation du port, les vêtements, ou les récits mythiques des explorateurs dans l’Asie du Sud-Est du XVIIe siècle.
Pour aller plus loin :
- Présentation de l’éditeur -> Lien