Voici une œuvre intéressante pour aborder la question des menaces qui pèsent sur notre monde.
Aux jolis collages de Sivia Bonanni répond la juste plume d’Alain Serres dans une sorte de scénario prospectif poétique qui expose bien la diversité des agressions tant au niveau des ressources (surpêche, surcueillette, déforestation) qu’au niveau des pollution (de l’air, de l’eau) et de la futilité de certaines actions de l’homme (manteaux en peaux d’animaux).
S’il ne reste que de l’argent, ce n’est pas lui qui nous sauvera, d’où les espoirs portés dans les yeux et l’esprit de l’enfant, pas encore corrompu.
Espérons et employons nous à changer les choses dès le monde de la classe avec ce genre d’opus tout à fait bienvenu pour aborder la question.