Après une introduction pour qualifier le terme de développement durable et analyser les indicateurs proposés, plus ou moins pertinents, contestés pour certains, signe d’une réflexion théorique très actuelle l’auteur a choisi 50 indicateurs utilisés par les pouvoirs publics et destinés à permettre la mesure des évolutions et de l’efficacité des politiques publiques.
Chaque indicateur est présenté de la même façon sur une double page :
- un tableau décrivant : l’origine, la définition, l’utilisation, les résultats, les limites et un commentaire. Le complément pour aller plus loin sur internet fait souvent référence aux mêmes sites : http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr, http://ec.europa.eu/eurostat/, et bien sur http://www.insee.fr.
- deux graphiques (France / autres pays en Europe).
Une première série concerne les indicateurs économiques et de croissance : PIB, revenu, pouvoir d’achat, consommation d’énergie, poids de la dette.
Viennent ensuite les indicateurs du développement: fécondité, espérance de vie, classes d’age, distribution et écarts de revenus, pauvreté et IDH.
Une place particulière est faite aux indicateurs du marché du travail et de la formation.
Les indicateurs environnementaux et de la transition sont présentés en feux groupes. Dans les indicateurs environnementaux on retrouve : les gaz à effet de serre, l’artificialisation des sols, l’indice de pollution de l’air en ville, la qualité de l’eau, les producteurs de déchets, les empreinte écologique et carbone. En ce qui concerne la transition l’accent est mis sur le recyclage des déchets, les énergies renouvelables, les surface en agriculture biologique, la participation des femmes dans les instances décisionnelles.
Un ouvrage utile qui met à disposition des statistiques récentes (2013/2014) et qui sera donc à mettre à jour dans un secteur appelé à évoluer rapidement.