Ed. Atlande, 1999, 139 F.
Le livre dirigé par Marie-Anne Gervais-Lambony est sensiblement différent de celui de A. Miossec. Ouvrage collectif (une vingtaine d’auteurs, souvent de jeunes chercheurs), il multiplie les approches zonales (les littoraux désertiques, insulaires …), thématiques (peuplement, exploitation des ressources , tourisme…) et les échelles différentes dans de nombreuses études de cas concrets (de la ville côtière au continent). Il s’agit donc davantage d’une trentaine d’articles regroupés en chapitres, sans doute pour couvrir le plus grand nombre possible de sujets de concours.
Tout cela se lit donc très facilement, y compris la première partie de géographie physique, très abordable et aisée à mémoriser. De même les très nombreux croquis (et cartes en couleurs) peuvent être retenus sans problème. Les articles sont accompagnés d’encadrés (« zoom ») qui présentent un point particulier de la question ou qui changent d’échelle (la côte des Guyanes replacée dans le cadre continental ; le port de Lomé dans le chapitre sur les côtes togolaises).
Tout cela se lit donc très facilement, y compris la première partie de géographie physique, très abordable et aisée à mémoriser. De même les très nombreux croquis (et cartes en couleurs) peuvent être retenus sans problème. Les articles sont accompagnés d’encadrés (« zoom ») qui présentent un point particulier de la question ou qui changent d’échelle (la côte des Guyanes replacée dans le cadre continental ; le port de Lomé dans le chapitre sur les côtes togolaises).
Enfin, une courte partie sur les littoraux français clôt le livre.
Pour ceux qui ont déjà passé les concours, ce livre est une véritable mine d’exemples. Il permet de travailler sur des cas concrets (notamment en classe de seconde: la partie sur le peuplement des zones littorale s’avère bien utile). Les cartes et schémas s’adaptent sans grande difficulté pour l’entraînement au croquis type bac. L’étude des littoraux indiens (pp41-45) peut constituer une excellente approche de la concurrence entre le développement des activités littorales, l’accroissement de la population et la protection des « milieux ».
Septembre 1999.
