Vous souhaitez lire la suite ?
Actifs dans le débat public sur l'enseignement de nos disciplines et de nos pratiques pédagogiques, nous cherchons à proposer des services multiples, à commencer par une maintenance professionnelle de nos sites. Votre cotisation est là pour nous permettre de fonctionner et nous vous en remercions.
Ce qui me surprend toujours au sujet de la « retirada », c’est que l’on oublie le rôle joué par l’entente Franco-Pétain, deux militaires qui se connaissaient au moins depuis la guerre du Rif (1925) . En 1939 étain était ambassadeur de France à Madrid, lorsqu’il fut « appelé », et le 12 février 1941 à Montpellier, au retour de l’entrevue Franco-Mussolini les deux hommes tractèrent directement : quelles en sont les traces historiques ?
ll y a fort à penser que si cette tractation évita certainement à la France de se retrouver « prise en écharpe » entre deux ennemis, et probablement de se trouver amputée du département des P.O., elle ne se fit pas sans contrepartie: outre la restitution de l’or espagnol rentré en France par les communistes espagnols qui espéraient poursuivre la lutte (celui en tous cas que l’état français avait pu récupérer) , et les « camions de la « retirada », quels furent les conseils prodigués en vue d’inciter les « réfugiés » à avoir « envie de rentrer chez eux » Qui ho sap???