L’objectif de cet ouvrage, coordonné par le géographe Alexis Metzger, est de préciser comment chaque discipline des sciences humaines et sociales traite de la question climatique en s’appuyant sur un ensemble de méthodes, d’expériences et de références théoriques. Est-il possible de décloisonner certaines épistémologies disciplinaires ? Parle-t-on de climat ou de climats ? Le climat est pensé à différentes échelles temporelles par les différentes disciplines.

Les différentes contributions sont regroupées en deux parties. Dans la première, une approche plus historique : archéologie, histoire, histoire des sciences dans les territoires, réels ou non : architecture, géographie et littérature. La seconde partie réunit les sciences de l’éducation, la sociologie, la philosophie, l’esthétique et l’économie qui se sont intéressées à l’enjeu du changement climatique.

Archéologie et climat

Christophe Petit1 et Laure Fontana2 montrent que l’objectif des archéologues est, à la fois, d’établir un cadre climatique et environnemental grâce aux apports des climatologues (données géologiques, glaciologiques et dendrochronologiques) et de percevoir les interactions entre les sociétés humaines et le climat.

Dans cette contribution les auteurs définissent les problématiques en jeu et les aspects des études.

La variation climatique avait été perçu à l’occasion de l’étude faunistique du Pléistocène. La relation entre l’homme / climat apparaît aussi lors de l’étude des catastrophes naturelles (éruptions volcaniques, séismes, inondations…) particulièrement intéressantes pour les archéo­logues.

La question peut donc être : comment les sociétés anciennes ont perçu et gérer, dans leur système de pensée et leur mode de vie, les modifications de leur milieu nées par les fluctuations du climat ?

Les auteurs précisent les démarches et difficultés d’une telle quête.

Deux exemples viennent éclairer le propos : au Paléolithique au Néolithique.

Au milieu pléistocène le recul des glaciers amène une modification des écosystèmes, des déplacements de la faune et donc des hommes, la diversification de leur alimentation. L’étude est rendue difficile à cause des problèmes de datation. L’archéologue peut-il corréler ses résultats avec des données paléoclimatiques ? L’exemple détaillé porte sur le Solutréen.

Pour la période néolithique l’exemple des occupations des bords de lacs jurassien P. Pétrequin a étudié les variations de niveau lacustres (lacs de Clairvaux et de Chalain) et les différents temps d’occupation humaine. Des études récentes sur les marais de Limagne laissent à penser que les tourbes littorales ont pu être exploitées durant les phases de bas niveaux lacustres.

Ces exemples montrent que les archéologues commencent à mesurer les enjeux de l’étude du climat et de l’environnement, dans l’étude des sociétés. La perception du climat est cependant indirecte, c’est donc un défi pour les archéologues.

Histoire du climat

Dans ce chapitre Laurent Litzenburger3 rappelle l’historiographie de cette approche : Il présente l’ouvrage précurseur d’Emmanuel Le Roy Ladurie : Histoire du climat depuis l’an mil4.

Du constat des aléas météorologiques et des malheurs du temps déjà présents chez Montesquieu aux séries des relevés météorologiques les historiens disposent de nombreuses sources mais attention à une lecture trop déterministe des faits.

Le deuxième ouvrage Emmanuel Le Roy Ladurie Histoire humaine et comparée du climat5, montre les évolutions des enquêtes à mener, des conclusions possibles : le petit âge glaciaire contrainte ou atout ? vulnérabilité des sociétés et stratégies d’adaptation.

Cette évolution des questionnements et des méthodes interrogent le « métier » d’historien.

L’auteur constate depuis les années 1990 une inflation du nombre et de la variété des travaux sur l’histoire du climat : reconstruction des variations climatiques, attitudes des autorités locales, régionales ou nationales face aux catastrophes et aux crises climatiques… C’est aujourd’hui un réseau de chercheurs qui s’appuient sur des bases de données comme le Climate History Network le Réseau perception du climat.

 

Laurent Litzenburger décrit les sources et méthodes actuelles et présente des pistes de recherche : vastes échelles spatiales et temporelles, mesure le la vulnérabilité sociale, stratégie d’adaptation sociale, économique des sociétés.

Les historiens des sciences du climat

Frédérique Rémy6 explore deux dimensions de la question : Rechercher le cheminement intellectuel des scientifiques et contribuer à reconstruire les climats anciens.

Longtemps la notion de climat a paru simple et liée à la seule latitude. Au XIX e siècle d’autres paramètres sont imaginés : effet de serre, albédo, orbite de la Terre.

Ce sont les Grecs, à la suite des observations de Pythéas, qui ont inventé le mot climat. Pourtant à partir de la Renaissance, les voyages lointains ont montré que la latitude ne suffisait pas à expliquer les variations. « Si les côtes de Québec sont plus froides que celles de la France, c’est que l’homme, depuis longtemps présent en Europe, a assaini, défriché, coupé les forêts. En modifiant son environnement, l’homme modifie le climat. »7

Avec Buffon d’autres explications apparaissent, l’action de l’homme assainit son environnement et le réchauffe. Comme le note d’auteur la responsabilité des hommes dans le changement climatique n’est pas une idée nouvelle.

A partir de la fin du XVIIIe siècle on dispose de nouveaux moyens de mesure qui permettent de mieux documenter le climat. Des savants s’y intéressent : A. de Humboldt, M. Maury qui montrent le rôle des courants marins. Avec H.B. de Saussure la montagne entre en jeu et J. Fourier décrit l’effet de serre.

F. Arago en compilant les périodes de gel, les événements extrêmes comme le gel des fleuves,

la limite de la culture de l’olivier… ouvre la voie à la reconstitution des climats anciens. Aujourd’hui l’étude de la glace permet d’échantillonner toutes les échelles de temps de l’année à plusieurs cycles glaciaires (cent mille ans pour les carottages profonds en Antarctique).

Les différents paramètres : effet de serre, variation de l’orbite terrestre, convection

atmosphérique, courants marins, albédo… ont permis la réalisation de modèles complexes. Pourtant de nombreuses questions demeurent. Il est notamment intéressant de connaître comment se sont diffusées ces connaissances dans la société.

Architecture et climat

Au début du XXe siècle les sciences humaines ont commencé à s’interroger sur l’influence du climat et du milieu sur l’architecture vernaculaire. Philippe Bonnin8 montre que le Japonnais Watsuji Tetsurô est un précurseur dans ce domaine. Il est vrai que le Japon est un pays très sensible aux catastrophes naturelles (tsunami, typhon) qui ont influencé les modes d’habitat (localisation, matériaux). L’auteur s’intéresse ensuite aux travaux d’A. Leroi-Gourhan9.

Les recherches sur l’habitat vernaculaire ont mis en évidence « les maisons-types », décrites, expliquées par divers auteurs : Albert Demangeon, Pierre Deffontaines10, Jean Brunhes, Amos Rapoport. Ces travaux montrent une relation complexe de l’homme avec le milieu naturel, médiatisée par l’habitat.

Pourtant les adaptations ne sont pas toujours efficaces, comme le montre l’étude de la maison japonaise par Jacques Pezeu-Massabuau. Cette maison est mal adaptée au froid.

L’auteur pose une autre question : comment l’arrangement des espaces qui composent la maison et leurs interrelations expriment la co-construction de ce modèle dans son milieu et son climat local ? Il étudie et questionne les évolutions avec comme exemples l’ostal de Margeride et la maison japonaise du Hokaïdo.

Il s’interroge sur les « diktats » contemporains de l’architecture solaire, passive, bio-climatique, une architecture technicisée.

La climatologie : un champ disciplinaire séculaire de la géographie

Avec Martine Tabeaud11 on aborde un incontournable des études de géographie. Au XIXe siècle le premier souci des géographes fut de répertorier et cartographier les climats12. Des noms, plus ou moins connus, sont associés à cette période : A. de Humboldt, E. de Martonne, W.P. Köppen, Alphonse et Augustin Pyrame de Candolle… L’auteur évoque le rôle de synthèse d’Elisée Reclus13.

Les deux guerres mondiales ont eu pour effet de faire progresser les appareils de mesure de l’atmosphère et donc la capacité à prévoir le temps. La météorologie va dynamiser cette partie de la géographie. En 1957, le géographe Pierre Pédelaborde cherche à reconstituer le temps qu’il fait au cours de l’année à une échelle régionale14. La même année Charles-Pierre Péguy publie un manuel de géographie quantitative : Éléments de statistique appliquée aux sciences géographiques et 1967 est amorcée par l’équipe de géoclimatologues de Grenoble la Carte climatique détaillée de la France au 1/250 000.

Le changement climatique récent a remis en cause les champs disciplinaires traditionnels de la climatologie, irruption de la physique, de la chimie, de la glaciologie. L’auteure rappelle les travaux du GIEC. Elle présente les travaux de Denis Lamarre15 et le concept de potentiel climatique.

Elle conclut sur la place des géoclimatologues qui abordent la sensibilité aux risques climatiques des acteurs sociaux dans leurs territoires.

Littérature et climat

Anouchka Vasak16 cite, en introduction de sa contribution, Climat, d’André Maurois, paru en 1928 qui à l’évidence emploi le mot dans un sens bien différent. Elle s’appuie sur les travaux de Luis Dufour17 qui montrent la place des nuages en littérature.

L’auteur revient sur le sens du mot : climat tel qu’il est défini dans les grands dictionnaires des XVIIe et XVIIIe siècles. C’est avec les écrivains romantiques que le climat fait irruption dans le récit. Il apparaît aussi dans le théâtre d’Ibsen (Les Revenants) ou de Tchekhov (le personnage d’Astrov dans Oncle Vania).

L’auteur montre aussi la place du climat dans les « romans de la terre » comme François le Champi de G. Sand, Maria Chapdelaine de L. Hémon ou les livres de C.F. Ramuz. Il est aussi presque un personnage chez Camus, l’été algérois dans L’Étranger de Camus, chez Marguerite Duras18.

Dans les années 1970 apparaît aux États-Unis un courant écocritique qui identifie le climat comme problème comme une suite à Steinbeck (Les raisins de la colère) ou aux écrits de Thoreau. La science-fiction s’empare aussi de ce thème.

Sociologie et climat

Pour Philippe Boudes19 la sociologie rencontre des difficultés pour penser le climat malgré la création en 2015 de la revue Environnemental Sociology. Les sociologues s’intéressent à des thèmes divers : les mouvements sociaux, les inégalités, l’expertise, l’appropriation sociale des enjeux climatiques ou le scepticisme organisé mais ces travaux restent marginaux même si les penseurs de la sociologie ont accordé une place aux déterminismes naturels.

La difficulté est liée au fait que la sociologie doit revenir sur la construction scientifique et politique du changement climatique avant d’en étudier les enjeux sociaux.

Les approches choisies portent sur les éléments théoriques, les représentations et la perception du climat par les individus, la justice environnementale, les liens entre genre et climat, les mouvements sociaux, la consommation.

Philosophie du changement climatique

Par Ivo Wallimann-Helmer20

La Philosophie du changement climatique s’intéresse aux questions éthiques depuis les années 1990 : de quelle façon et selon quels principes les charges et les droits liés à la lutte contre le changement climatique doivent être équitablement répartis ?

L’auteur décline trois axes :

  • L’économie de libre marché comme cause du changement climatique car l’anthropisation est mise en relation avec l’industrialisation du XIXe siècle et donc le capitalisme. « Même s’il est dans leur [les capitalistes] intérêt à long terme de préserver les biens communs, les différents acteurs suivront leur intérêt individuel en maximisant le profit qu’ils peuvent en tirer. Étant donné que tous ceux qui utilisent les biens communs sont des « maximiseurs »de profits, ils seront nécessairement surexploités à court ou à long terme. »21
  • La justification de la protection du climat

Le changement climatique conduit à la violation des droits humains ce qu’il faudrait éviter. Le changement entraînera des pertes, des atteintes aux droits des communautés culturelles et sociales. La philosophie peut alors développer des arguments pour justifier les mesures de protection du climat comme l’équilibre entre pays pauvres et pays riches, entre générations actuelles et futures.

  • Conditions pour la protection du climat dans trois domaines : la politique démographique, la croissance économique et le progrès technologique. Dans quelle mesure assurer le maintien des libertés individuelles ? L’auteur insiste sur le principe d’équité des émissions de CO2/habitant.

Esthétique et changement climatique

Nathalie Blanc22 explique en quoi le changement climatique remet en cause notre sensibilité, nos représentations et notre compréhension des phénomènes et de leur déroulement. Il génère une forte l’incertitude du futur.

L’auteure explicite ce qu’est l’esthétique, une philosophie née au XVIIIe siècle. C’est est une science du sensible. Les études sont passées d’une esthétique environnementale à l’esthétique du climat proprement dit : comprendre les représentations et les manières sensibles d’appréhender le changement climatique, quelque chose de difficilement visible.

Le changement climatique génère trois vertiges : définir le climat, mesurer l’impact des changements et le vertige de l’impuissance.

« Comment penser les relations entre l’esthétique et le climat ? La priorité est, non seulement, de faire comprendre le changement climatique, ce qui implique une éducation à l’environnement, mais aussi de promouvoir des récits qui structurent des façons de se raconter le changement climatique. Pour mobiliser les gens, il y a besoin d’histoires brèves et longues, avec des protagonistes variés, qui expliquent quel est le sens de l’histoire qui conduit l’humanité à affronter un de ses grands défis, le changement climatique. »23

Climat et sciences de l’éducation

Le précédant chapitre concluait sur la nécessité d’une éducation à l’environnement, Clément Barniaudy24 rappelle l’histoire de l’éducation au climat : entre géographie savante et expérimentations en plein air depuis le XIXe siècle25 jusqu’aux années 1970, une histoire de l’enseignement de la géographie. Il montre comment on passe ensuite à une approche systémique pour comprendre la combinaison et les interactions entre les écosystèmes qui ne peuvent être séparés des activités humaines.

Les programmes, notamment de SVT, se modifient pour aller vers « une alphabétisation climatique » intégrant de nouvelles dimensions didactiques (« questions socialement vives »). Il décrit les « éducations à » (à l’environnement et au développement durable (EEDD), à la santé, aux médias, à la citoyenneté…) depuis le début des années 1980. Il en dit aussi les limites et les freins structurels, politiques et culturels et propose des pistes (formation des enseignants, réflexion sur les finalités éducatives).

Économie et climat

Patrick Criqui26 et Sandrine Mathy27montre que l’économie s’est intéressée tardivement au climat. Il faut attendre que le changement climatique soit attribué aux activités humaines pour que les économistes fasse de cette question un objectif pour proposer des solutions économiquement efficaces pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.

Les auteurs présentent les grandes doctrines économiques et la diversité de leurs approches. Ils dégagent quatre grands paradigmes : croisement de deux critères : variables monétaires ou physiques et échelle micro ou macro. Chaque courant à une approche des problèmes d’environnement et de ressources.

Les modèles économie-énergie-climat sont un d’application de la théorie économique à l’étude du changement climatique et de ses conséquences. Ces modèles sont présents dans les négociations internationales depuis le protocole de Kyoto signé en 1997, notamment le modèle coût-bénéfice pourtant insuffisant pour les impacts non-marchands.

L’urgence climatique amène à repenser le rôle de l’économie dans la lutte contre les changements globaux au-delà des émissions de gaz à effet de serre pour aller jusqu’à l’étude des impacts des actions de l’homme sur les éco­systèmes. Les auteurs abordent les modèles économie-énergie-environnement développés depuis les années 1990 et les nouveaux défis de la neutralité carbone.

Ils décrivent l’évolution des réflexions dans l’analyse stratégiques des transitions.

Un livre qui ouvre des pistes de réflexion à toute personne désireuse d’y voir plus clair sur les apports des sciences humaines à la question climatique.

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1Professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, co-responsable de l’équipe Archéologies environnementales
ArscAn-Archéologies environnementales

2Chargée de recherche CNRS, co-responsable de l’équipe Archéologies environnementales, ArScAn UMR 7041

3Chercheur associé au CRULH (Université de Lorraine), auteur d’une thèse consacrée aux enjeux du changement climatique, centré sur Metz et le pays messin à la fin du Moyen Age (1400-1530)

4Publié en 1967 chez Flammarion

5Publié aux Editions Fayard, t. 1 Canicules et glaciers XIIIe – XVIIIe siècles, 2004 ; t. 2, Disettes et révolutions, 2006 ; t. 3, Le réchauffement de 1860 à nos jours (avec le concours de Guillaume Séchet), 2009. On peut ajouter Les fluctuations du climat de l’an mil à aujourd’hui, Paris, Fayard, 2011

6Directeur de recherche au CNRS, responsable de l’équipe « cryosphère » à l’Observatoire Midi Pyrénées, auteur de Histoire de la glaciologie (Vuibert, 2007), Histoire des pôles. Mythes et réalités polaires (éditions Desjonquères)

7Citation p. 73

8Il est architecte et anthropologue, chercheur au sein du laboratoire Altérités et Territoires (ALTER) – Université Paris 8. Il a écrit de nombreux ouvrages et articles sur l’architecture et l’habitat.

9Notamment son ouvrage, paru en 1945, Milieu et techniques chez Albin Michel

10L’homme et sa maison, Pierre Deffontaines, Parenthèses, 301 p., 2021 (réédition)

11Géographe et professeure de géographie à l’Université Paris Sorbonne

12Carte de 1823 en isothermes moyennes annuelles reproduite en p. 110

13La Terre : Description des phénomènes de la vie du globe, Hachette, 1868-1869

14Le Climat du Bassin parisien : Essai d’une méthode rationnelle de climatologie physique

15Les métamorphoses du climat, 2016, Eds Universitaires de Dijon

16Elle est l’auteur de Météorologies. Discours sur le ciel et le climat, des Lumières au romantisme (Champion, 2007). Elle travaille en histoire du climat avec Emmanuel Le Roy Ladurie (Trente-trois questions sur l’histoire du climat, Fayard, Pluriel, 2010) et co-anime le réseau « perception du climat » (EHESS).

17Les écrivains français et la météorologie : de l’âge classique à nos jours publié par l’Institut royal météorologique de Belgique en 1966

18Les Petits Chevaux de Tarquinia ou Le Vice-Consul

19Maître de conférences en sociologie à Agrocampus-Ouest

20Philosophe, depuis 2018 professeur en humanités environnementales à l’Université de Fribourg

21Citation p. 171

22Directrice de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et directrice du Centre des politiques de la Terre. Elle a été directrice de l’UMR CNRS LADYSS (2014-2019). Pionnière de l’éco-critique en France, elle a publié et coordonné des programmes de recherche sur des domaines tels que la nature dans la ville, l’esthétique environnementale et les mobilisations environnementales.

23Citation p. 197

24Maître de conférences en géographie à l’Université de Montpellier

25L’auteur faut référence à la revue Éducation et Bulletin de l’instruction primaire (1851, 1857) qui s’inspirent de J.-J. Rousseau et de J.H. Pestalozzi

26Directeur de recherche émérite au CNRS, il travaille sur l’économie de la transition énergétique et des politiques climatiques, au Laboratoire d’Economie Appliquée de Grenoble.

27Chercheuse en économie de l’environnement et de l’énergie au CNRS, au sein du laboratoire PACTE-EDDEN à Grenoble