Généralités Grèce antique

« Monsieur, on ne fait pas jouer Platon en deuxième division » aurait répliqué Valéry Giscard d’Estaing à un diplomate, membre du cabinet du président de la Commission européenne, Commission qui...

C’est une nouvelle et quatrième édition mise à jour de ce classique pour étudiant en licence d’histoire ou lettres classiques. Cet ouvrage collectif est coordonné par Nicolas Richter,...

Sylvian Fachard, chercheur suisse, spécialiste de la cité eubéenne d’Erétrie, a étroitement collaboré avec Pierre Ducrey, professeur honoraire d’histoire grecque de l’Université de...

Comment un Grec de l’Antiquité voyait-il la Terre et plus généralement le monde ? La réponse est complexe tant elle évolue d’Homère à Alexandre, et elle peut être bien différente lorsque l’on...

Au moment où débute la diaspora grecque, avec l’installation de colonies sur les rivages de la mer Méditerranée et de la mer Noire, la « Grèce » au sens strict n’existe pas. La civilisation grecque...

Pascal Payen est professeur d’Histoire grecque à l’Université Toulouse – Jean Jaurès. Ses travaux portent sur l’histoire grecque, naturellement, mais pus particulièrement sur l’histoire culturelle...

Le rapport des Grecs à la guerre et la place de celle-ci dans le monde grec sont des sujets d’étude classique. Pascal Payen, professeur d’histoire grecque à l’Université jean Jaurès de Toulouse, renouvelle pourtant ici l’approche de ce thème. Il ne se livre pas à une histoire des guerres du monde grec, mais étudie la guerre en tant que phénomène culturel. Il va donc se placer dans une histoire des sociétés en guerre en empruntant notamment aux historiens de la Grande Guerre un certain nombre de leurs angles d’approches (violences de guerre, sorties de guerre…) L’ouvrage comprend 5 parties thématiques ; la première pose la question de la centralité de la guerre chez les Grecs, la seconde est plus sur la géopolitique des conflits. La troisième va étudier les moyens de la guerre avant que la quatrième partie ne porte sur les sociétés grecques en guerre et la dernière sur ce que l’auteur appelle les « revers de guerre »